Lagos, passé et présent
Dulce Pontes chante Mar português, poème de Fernando Pessoa, et la Chanson de la mer
En face du fort, le « marché aux esclaves », qui était en fait le bâtiment où on enregistrait ses « achats » et où on payait ses taxes :
On voit passer D. Sebastião, statue de João Cutileiro, et dans le port, à la fin du film, la caravelle Boa Esperança, réplique des caravelles à deux mâts qui ont emmené les navigateurs vers le nouveau monde.
3 commentaires »
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Je m’attendais à voir un film sur la capitale du Nigéria.Je ne savais pas qu’une ville au Portugal s’appelait Lagos.Toujours des images aussi belles .Je ne peux pas m’empêcher d’avoir une pensée émue pour tous ceux et celles qui ont quitté ce beau pays pour devoir gagner leur vie ailleurs, notamment aux portugais de France qui ont bien du mérite , coup de chapeau à eux…Amicalement
Et pourtant, si Lagos existe au Nigéria, c’est parce que des marins portugais l’ont baptisée ainsi.
Oui, ceux qui sont partis éprouvent en général de la « saudade ».
Amicalement
Oh Lusina ! je pleure…
Pourquoi, à chaque fois que je viens te voir, ma gorge se noue…LAGOS ! C’est là que j’ai passé mes vacances, c’est là que j’ai connu José et Luisa, c’est à la « Casa do Pinhao »(sur ta video, la grosse maison blanche à 1’40 de la fin)que j’ai vécu des moments inoubliables! J’ai vu le rocher aux mouettes, la marina, le fort, il ne manquait que les « bombeiros »
Merci quand même pour ces moments intenses…SAUDADE