kuduro
« les maris portugais qui allaient là-bas pour aider le pays à résoudre les problèmes que les indigènes ne parvenaient pas à régler étaient la cible de conspirations savamment ourdies pour qu’ils ne remettent plus les pieds au Portugal. L’opération commençait dès l’aéroport de Luanda, où ils étaient attendus par des bataillons de négresses et de mulâtresses, qui les emmenaient vers un lieu inconnu. Lorsqu’ils réapparaîtraient, ils cesseraient de sentir des pieds, ils se mettraient à se laver les dents tous les jours et, comme si ça n’était pas suffisant, ils se mettraient à danser la samba, le kizomba, le kuduro et la tarrachinha. Ils seraient, par conséquent,entièrement tropicalisés.«
João Melo (Angola),The Serial Killer, Caminho, Outras Margens, 2004
Le Kuduro s’importe … et a du succès !
Quant aux danseurs de kizomba… rien à dire :