Lusopholie

Lettres, poésie et musique lusophones

Archive pour janvier, 2008

Arrifana

Posté : 19 janvier, 2008 @ 8:02 dans - époque contemporaine, littérature et culture, Poesie | Pas de commentaires »

 

Arrifana dans - époque contemporaine p_arrifana3

La plage d’Arrifana

ALJEZUR

Sous les remparts d’Arrifana
Le surf aplanit les différences
Croissant ou croix ne sont plus
Que figures de réjouissances
Pour ceux qui tiennent les rènes
Des chevaux d’argent
Epées et cimeterres sont dans la bouche
Damasquinées de cristal et d’ébène
Les fleurs boréales de leurs combats
Illuminant les contreforts d’Aljezur

gmc

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Tapisserie de Portalegre

Posté : 14 janvier, 2008 @ 3:19 dans littérature et culture, Poesie | 2 commentaires »

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Tapis d’Arraiolos (Alentejo)

 

Tapeçaria da Portalegre

Wisigoth sur un tapis volant
Tissé par des mains d’Arraïolos
Un feu de joie parcourt
Le sang d’Alentejo
Comme les veines souriantes
Des marbres d’Estremos
Taïfa da Beja règne la Pax Augusta
Sous les oliviers et les chênes
Qui bordent les chemins d’Evora
Menant au temple de Diane

gmc

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Souvenir de Macau

Posté : 9 janvier, 2008 @ 2:33 dans - époque contemporaine, musique et chansons, vidéos documentaires | Pas de commentaires »

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Chansons : Macau Sã Assi , et Macau Téra Galánte

Le groupe Tuna Macaense

Souvenir de Macau dans - époque contemporaine tuna_macaense

(Photo :www.m-rock.net/)

Un peu d’histoire…

La région aujourd’hui appelée Macau (Macao) faisait autrefois partie de la province de Gunagdong.
Les premiers navigateurs Portugais arrivèrent en Chine en 1513 sur l’île de Lintin.
Les années suivantes, les autorités chinoises expulsèrent plusieurs aventuriers. En 1536, à la suite d’une avarie, les Portugais obtinrent le droit de jeter l’ancre à Haojingao. Le début de la colonie est daté de 1553, année de l’établissement des premiers bâtiments permanents.
Macau était un centre naturel pour le commerce portugais avec le Japon, la Chine, l’Inde, et tout sud-est asiatique. En 1557, le gouvernement portugais signa un bail officiel avec le gouvernement chinois en échange d’un tribut annuel et établit un village. Le territoire restait sous souveraineté chinoise cependant, et les citoyens chinois soumis à la loi chinoise. En 1605, une attaque par la flotte hollandaise poussa les Portugais à construire un mur autour du village sans la permission de la Chine.

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musique d’un peu partout

Posté : 7 janvier, 2008 @ 8:13 dans littérature et culture | Pas de commentaires »

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artistes lusophones : Luís Portugal, Dany Silva, Guto Pires, Manecas, André Cabaço, Paulinho Lemos, Ze’Pereiras…

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Promenade à Carvoeiro

Posté : 7 janvier, 2008 @ 7:09 dans - époque contemporaine, vidéos documentaires | 6 commentaires »

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Fin décembre… les bateaux sont rentrés.

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Fête capverdienne

Posté : 6 janvier, 2008 @ 8:07 dans musique et chansons | Pas de commentaires »

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Sintra

Posté : 4 janvier, 2008 @ 9:51 dans littérature et culture, vidéos documentaires | 2 commentaires »

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Le palais d’été du Roi Dinis est le premier qui apparaît dans la vidéo, celui qui est dans la ville. L’autre (Pena) n’a été construit que beaucoup plus tard (en 1839).

Sintra n’est pas une grande ville, et elle abrite peu de monde. Les juges disent qu’elle ne dépasse pas deux cents habitations, si l’on ne tient pas compte des nombreuses autres, éparpillées dans la campagne. Peu de chose, certes, comparé à Lisbonne, qui en est proche, ou à Santarém, ou Evora, ou Braga, ou une autre grande cité du royaume. Malgré tout, et parce que c’est la coutume que les gens de la Cour et d’autres gens de Lisbonne viennent jusqu’à Sintra traiter des affaires ou se reposer, le mouvement est important. Ce n’est qu’ainsi qu’on peut comprendre que, dans une ville comme celle-ci, dont la dimension équivaut à deux ou trois quartiers de Lisbonne, il y ait autant de tabellions.
Et de cette Cour, le Palais de la Ville, le Palais des rois, est le symbole, et des ces rois il est le lieu de repos. Lorsqu’à la fin d’une après-midi ensoleillée on entendait le bruit des pas et des mules, et dans les rues le roulement des roues de carrosses ; lorsque la rumeur des voix augmentaient et que les gamins couraient au Champ de L’Olive pour voir le cortège passer sur la place et entrer au Palais Royal ; lorsque les juges se grattaient la barbe en imaginant comment ils pourraient payer à Monseigneur le Roi l’impôt sur les récoltes qui lui est dû quand il se séjourne dans la ville ; alors c’est le signe évident que, pendant quelques jours (ou quelques semaines, si c’était l’été), Sintra se transformait, et les habitants, les colporteurs, les paysans, les artisans, les juifs et les maures affranchis, s’ils arrivaient de l’extérieur, pouvaient penser qu’ils étaient dans une autre ville, devenue paradis terrestre des seigneurs, de leurs favoris et de leurs domestiques.

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