Manoel de Oliveira
Hommage du Festival de Cannes 2008
Manoel de Oliveira est né en 1908… Il aura 100 ans le 12 décembre.
D’abord acteur, puis réalisateur, scénariste, dialoguiste, directeur de la photographie, monteur…
Un hommage largement mérité… finalement !
Filmographie (Source : Wikipédia)
- 1931 : Douro, Faina Fluvial (film muet)
- 1932 : Estátuas de Lisboa
- 1938 : Miramar, Praia das Rosas (court-métrage)
- 1938 : Já Se Fabricam Automóveis em Portugal (court-métrage)
- 1941 : Famalicão
- 1942 : Aniki Bóbó
- 1956 : Le Peintre et la ville (O Pintor e a Cidade)
- 1963 : Le Mystère du printemps (Acto de Primavera)
- 1964 : A Caça
- 1965 : Pinturas do Meu Irmão Júlio, As
- 1966 : O Pão
- 1972 : Le Passé et le présent (O Passado e o Presente)
- 1975 : Benilde ou la Vierge Mère (Benilde ou a Virgem Mãe)
- 1979 : Amour de perdition (Amor de Perdição)
- 1981 : Francisca
- 1982 : La Visite (Visita ou Memórias e Confissões)
- 1983 : Nice – À propos de Jean Vigo
- 1983 : Lisboa Cultural
- 1985 : Le Soulier de satin
- 1986 : Mon cas (O meu caso)
- 1988 : Les Cannibales (Os Canibais)
- 1990 : Non, ou la vaine gloire de commander (‘Non’, ou A Vã Glória de Mandar)
- 1991 : La Divine comédie (A Divina Comédia)
- 1992 : Le Jour du désespoir (O Dia do Desespero)
- 1993 : Val Abraham (Vale Abraão)
- 1994 : La Cassette (A Caixa)
- 1995 : Le Couvent (O Convento)
- 1996 : Party
- 1997 : Voyage au début du monde (Viagem ao Princípio do Mundo)
- 1998 : Inquiétude (Inquietude)
- 1999 : La Lettre
- 2000 : Parole et utopie (Palavra e Utopia)
- 2001 : Je rentre à la maison
- 2001 : Porto de mon enfance (Porto da Minha Infância)
- 2002 : Le Principe de l’incertitude (O Princípio da Incerteza)
- 2002 : Momento (vidéo)
- 2003 : Un film parlé (Um Filme Falado)
- 2004 : Le Cinquième Empire (O Quinto Império – Ontem Como Hoje)
- 2005 : Espelho Mágico
- 2005 : Do Visível ao Invisível
- 2006 : Belle toujours
- 2006 : O Improvável Não é Impossível
- 2007 : Chacun son cinéma
- 2007 : Cristóvão Colombo – O Enigma
- 2009 : Le Miroir magique


la vague
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c'est comme ces adieux lancés sur la route bitumée d'étoiles, vers laquelle on s'avance mélancoliquement humble avec dans les pensées cette paisible nonchalance qui illumine parfois nos visages, ' le cur du temps' vient caresser tes sens que c'en
est magistral, puis soudain il y a dans l'air atone des passages aphones que j'emprunte en apnée les doigts crispés sur le fil d'ariane tressé d'anémones, là dans les profondeurs abyssales des chants cétacés ma vague déferlante vient fracasser ton corps d'épousée.
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