Une fois n’est pas coutume
La plaine de l’Alentejo, vue de Monsaraz
sous les arches chaudes au pied des versants abrupts les mirages volatils renseignent mes olfactives envies sur d’éventuelles mises au point
coupables oui passez-moi les menottes, inventez d’improbables cellules cousues d’or!
coupable de ne rien attendre d’autre que le début de tout
de l’amour; de la joie; du silence; du partage
neuf-sang-d’érosion, je nais dans le déclic de ma décision; moi l’homme du consort
les écailleurs de sirènes industriels préfabriquaient du rêve virtuel, nous étions impatients de le consommer
le visage du passé avait un rictus si paisible qu’il m’était impossible de l’envier pourquoi diable s’habille-t-il si chichement
une évanescence parallèle s’épanouira dans un champ intérieur là je dormirai si profondément; coupable et roi.
2 commentaires »
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Très bel écrit de Natsu. Lorsque tu le lis, il y a un rytme toujours particulier. Et un tourment dans l’écriture, c’est le jardin secret de Natsu!
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C’est bien vrai. Un style qui mérite d’être mis en valeur, digne des surréalistes, mais l’émotion est là.